Révolte contre la vie chère!

Derrière le "président du pouvoir d'achat" se cache le président des riches. Depuis 2007, Nicolas Sarkozy fragilise l'économie nationale en sacrifiant la production des richesses aux intérêts du capitalisme financier.

Un constat accablant: Des millions de français ne pensent qu'à boucler leur fin de mois avec à peine, pour certains, 750 € mensuels pendant que des patrons spéculateurs empochent 150 fois plus et que des actionnaires et traders se partagent 83 millions d'€ de profits boursiers. Nicolas Sarkozy est le président de l'injustice sociale et du pouvoir d'achat pour les plus riches.
Des foyers asphyxiés: Les prix de certains produits alimentaires vont grimper de 20%, l'énergie a augmenté de 14% en un an, le gaz de 60% depuis 2004, le prix du litre d'essence bat des records... cette liste n'est malheureusement pas exhaustive. Les chiffres concernant le logement sont alarmants: 1/3 des revenus des foyers français partent directement dans le paiement du loyer et des charges. Plus de 3 millions d'hommes et de femmes vivent dans des logements indignes ou sont sans-abri, d'après la Fondation Abbé-Pierre.
P-O, un département sinistré: 19,1% de la population du département vit avec moins de 950 € par mois. Les P-O se situent au 4ème rang des départements les plus pauvres. Précarité, chômage, petits boulots et bas salaires s'ajoutent à la crise du logement, aux augmentations du gaz, de l'essence et des produits de première nécessité. Mal vie, mal bouffe... des milliers de foyers se serrent la ceinture alors que l'argent coule à flot pour les plus riches.
Le PCF propose de reprendre le pouvoir sur l'argent et liste une série de mesures pour y parvenir:
- taxer les revenus financiers des entreprises et en finir avec les 30 milliards d'exonération de cotisations sociales patronales et les exonérations fiscales.
- augmenter les salaires et les retraites et les indexer sur le coût de la vie
- relever le SMIC à 1600 € brut par mois pour 35 heures.
- augmenter les minimas sociaux fixés en référence au SMIC
- sortir le logement de l'emprise de la loi du marché et de la spéculation en limitant le montant des loyers à 20 % des revenus familiaux.
- établir pleinement les 35 heures sans annualisation, ni perte de salaire en les accompagnant des créations de postes qu'elles impliquent.
- titularisation des 800 000 précaires de la fonction publique
- sécurisation des parcours dans l'emploi et la formation de chacun avec continuité de revenu tout au long de la vie.
Ensemble faisons grandir ces exigences! Révoltons-nous contre la vie chère!
Faisons signer massivement la pétition de soutien à ces propositions.

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