59% de l’actuelle dette publique proviennent des
cadeaux fiscaux et des taux d’intérêts excessifs.
Tout se passe comme si la réduction des déficits et des
dettes publiques était aujourd’hui l’objectif prioritaire de la politique
économique menée en France comme dans la plupart des pays européens. La baisse
des salaires des fonctionnaires, ou le pacte dit «de responsabilité» qui
prévoit 50 milliards supplémentaires de réduction des dépenses publiques, sont
justifiés au nom de cet impératif.