- Samedi 19 janvier, dans les
Pyrénées Orientales, à l’appel du collectif "Stop
austérité 66" (CGT, FSU, Solidaires, ATTAC, LDH, Libre Pensée,
Initiatives Citoyennes, PCF, PG, NPA) auquel s’était associé FO, nous étions
près de 400 pour défendre l’emploi sur la Côte Vermeille.
Le PCF 66 est déterminé à
poursuivre la mobilisation pour construire un rapport de force majoritaire en
capacité de changer réellement et maintenant de politique. Il demande un
moratoire et l’arrêt des restructurations d’emplois à la SNCF, à la douane,
dans les centres de soins et de santé, les maisons de retraite… La demande
d’une table ronde au préfet et aux députés de gauche sur l’emploi dans les P-O
doit aboutir sur des propositions concrètes de développement économique durable
de notre département.
- Mercredi 23 janvier, à Metz, plus de 2000 personnes
rassemblées autour de Pierre Laurent, Jean-Luc Mélenchon, Myriam Martin,
Christian Piquet et Clémentine Autain ont affirmé leur détermination à refuser
les politiques d'austérité conduites par le gouvernement et
montrer que d'autres choix sont possibles, qu'une alternative existe. Les
intervenants ont avancé des propositions concrètes pour changer de cap et lancé
dans tout le pays, la campagne du Front de gauche pour une alternative à
l'austérité.
Leur appel est un appel à la résistance, bien
sûr, à ne pas écouter ceux qui nous disent qu'il n'y a pas d'autre choix et qui
taillent dans les salaires, les pensions, ceux qui détruisent petit à petit
tous les services publics, et qui anéantissent notre industrie, ceux qui
partout en Europe martyrisent les peuples.
L'alternative c'est maintenant !
C'est aussi un appel à sortir enfin de ces
vieilles recettes pour imposer une autre logique qui donne la priorité aux
besoins sociaux et environnementaux.
Ces
deux mobilisations révèlent l’importance du mécontentement populaire
grandissant face aux politiques d’austérité infligées au peuple français.
A
Metz, le Front de gauche a ouvert le débat autour de politiques qui servent «
l’Humain d’abord » et pas les marchés financiers. Oui, c’est d'une autre
orientation économique, sociale et écologique dont la France a besoin.La bataille pour
le changement n'est pas terminée. Ensemble, nous pouvons l'exiger et l'obtenir.
Pour le PCF partie prenante du Front de gauche,
aucune sortie de crise ne sera possible sans mobilisation, sans investissement
public et privé, sans revalorisation des salaires et du pouvoir d’achat, sans
sécurisation de l’emploi. Pour cela le rapport de force doit grandir.
Le PCF
appelle à faire du 31 janvier une grande journée de mobilisation.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire